Il apportait dans le regard et avec son âge une allure
d’ange déchu.
À côté du plus ancien de tes noms, la trace
que le cirque laissait souvent
sur l’herbe et sur la continuité de l’éphémère.
« Je suis venu pour rester », a-t-il dit
au moment des adieux.
Poème publié dans le recueil Mudanzas (2001).
Traduit par Juan Asís Palau